De la survie des espèces ...

Grand Journaliste Messages : 1233 Date d'inscription : 25/07/2007

Chers lecteurs, bonjour.
Une fois n’est pas coutume, voici un article de ma part à caractère strictement informatif, oui vous avez bien compris, nulle ironie sur l’actualité palpitante des grands de ce monde dans ces lignes.
En effet, laissez-moi, si vous le voulez bien, vous relater les derniers résultats des études scientifiques hangratiales :

Vous aurez sûrement remarqué que dernièrement le ciel lui-même semble ne plus vraiment savoir à qui rendre des comptes : précipitations éparses sans réelles consistance, températures fluctuantes et plus qu’inhabituelles, vents violents au caractère chaotique…
Vous me direz que les intempéries n’ont jamais retenu une armée en campagne, ni même effondré les fortifications d’une cité, et vous aurez raison, encore que...
Cependant nous nous devons de constater au-delà de notre simple confort. Je vous parle de diversité. Oui, il est bien là, question de la survie de nombreuses espèces aguératonniennes encore méconnues de tous et ignoré de la plupart.

Certains exemples inquiétant sont à relevés, tel que la récente disparition des icebergs de l’île d’émeraude abritant les célèbres Pingouins. La fonte rapide des glaces risque d'entraîner immanquablement un refroidissement des masses océaniques ainsi qu’une hausse significative du niveau de l’eau. Imaginez, certaines plages actuellement très peuplées se retrouvants, sous peu, entièrement englouties. Les déserts pourraient eux même être menacés dans leur équilibre le plus simple, certaines populations comme les Frémens et les vers des sables seraient alors vouées à l’extinction. Les cartographes et les climatologues n’ont pas finit de plancher sur les futurs changements climato-géographiques et leurs conséquences. L’heure est grave, nous nous devons tous d’agir pour notre futur.

Si nous ne faisons rien nous pouvons être sur de voir disparaître sous peu, des races aussi légendaire que fondatrice en notre vieux continent. Qui sait ? Bientôt le peu d’anciens elfes encore en vie pourraient bien reprendre la mer vers des horizons plus propices. D’après les sources m’ayant été communiqué, un quart de la diversité continentale serait menacé d’ici les prochaines années.
Si nous ne savons calmer nos ardeurs, les flammes de notre insouciance finiront elles même par consumer finalement notre agonie.

Ceci est un appel à la conscience de chaqu’un !
Faisons en sorte de préserver notre monde, avant de perdre tous ce que nous avons pris le soin de construire.

Jacque USELEFAIT
Co-Rédacteur du Canard Déchainé